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VeilleNanos - Vers l'interdiction du dioxyde de titane dans les cosmétiques et les médicaments ?

Vers l’interdiction du dioxyde de titane dans les cosmétiques et les médicaments ?

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Après l’alimentation, va-t-on vers l’interdiction du dioxyde de titane dans les cosmétiques (hors crèmes solaires) et les médicaments ?

Par l’équipe AVICENN – Dernier ajout mars 2024

Le dioxyde de titane (TiO2) est un colorant blanc, sous forme de poudre à l’état brut, dont une grande partie des particules est de taille nanométrique1i.e inférieure à 100 nanomètres (1 nm = 0,001 µm = 1 milliardième de mètre). Il a été interdit dans les denrées alimentaires en France en 2020 puis dans l’ensemble de l’Union européenne en 2022 suite à des suspicions de carcinogénicité au niveau du côlon et de risque génotoxique. Le dioxyde de titane reste autorisé pour l’instant, à l’échelle non nano, pour d’autres usages cosmétiques par voie orale, comme les dentifrices ou les rouges et baumes à lèvres (où il peut être repéré par le code CI 77891)2Un avis du Comité européen pour la sécurité des consommateurs (SCCS) est attendu sur ce point prochainement..

Début 2022, la Commission européenne a lancé un ultimatum aux laboratoires pharmaceutiques : “Il est crucial que l’industrie pharmaceutique fasse tous les efforts possibles pour accélérer la recherche et le développement de solutions alternatives qui remplaceraient le dioxyde de titane (E171) dans les médicaments” avec, en ligne de mire, une interdiction possible en 20253cf. considérants 14 à 18 et article 3 du Règlement européen 2022/63.

L’interdiction des (nano)particules de dioxyde de titane dans les produits grande consommation est demandée puis une dizaine d’années par différentes organisations (associations, journalistes, agences sanitaires, …). Ces demandes se sont accélérées depuis l’interdiction du E171 dans les denrées alimentaires en 2020.
AVICENN compile ci-dessous les demandes en faveur de l’élargissement de cette interdiction aux cosmétiques susceptibles d’être ingérés et/ou inhalés (dentifrices, maquillages, baumes à lèvres…) et aux médicaments.

Compte à rebours :

In 2024

  • 23 mars 2024 : Le Moniteur des pharmacies n°3506 s’interroge : « Dioxyde de titane et médicaments, tout blanc ou tout noir ? » et relaie les avis d’experts de l’INRAé, du LEEM, du C2DS ainsi que les éclairages de Mathilde Detcheverry d’AVICENN et sa proposition phare : que les autorités sanitaires mettent à disposition du public une liste des médicaments disponibles sans E171, qui serait régulièrement mise à jour, pour que les patients aient connaissance des références sans dioxyde de titane quand elles existent.
  • 29 février 2024 : Une étude publiée dans la revue Frontiers in Pediatrics et réalisée par des chercheur et chercheuses de Bordeaux montre qu’une exposition in utero au E171 et à ses nanoparticules de dioxyde de titane peut altérer la fonction respiratoire chez les souriceaux.
  • Janvier 2024 : La nano-chronique d’AVICENN publiée dans le numéro 528 de la revue S!lence pose la question : E171 dans les médicaments : indispensable, vraiment ?
  • 17 janvier : Le numéro 1/2 de l’hebdomadaire L’information dentaire publie un article intitulé « Les nanomatériaux au cabinet. Les repérer pour promouvoir la santé » qui finit par un encart dédié aux nanoparticules de dioxyde de titane dans les dentifrices et les médicaments : « TiO2 : vers une accélération de sa suppression grâce au travail de sensibilisation ! »

En 2023

  • 5 et 8 décembre 2023 : Le 5 décembre, le Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (CSSC) publie la version provisoire de son avis scientifique sur le dioxyde de titane dans les cosmétiques, soumis à consultation jusqu’au 6 février 2024. Interrogée par ENDS Europe, Natacha Cingotti, de l’ONG HEAL, a commenté en demandant l’application du principe de précaution : « la Commission européenne ne devrait pas l’autoriser dans les produits cosmétiques tant que des problèmes de santé importants ne peuvent être exclus ».
  • 24 novembre 2023 : Dans un article intitulé « Nanoparticules : pourquoi autant de médicaments contiennent encore du dioxyde de titane« , L’OBS rappelle que le E171 « sert à blanchir les comprimés et à stabiliser les formules. « Il protège les comprimés du rayonnement ultraviolet et des conditions thermiques qui pourraient venir perturber la stabilité d’un produit », explique Thomas Borel du Leem (les Entreprises du Médicament). Un argument souvent balayé par la communauté scientifique estimant que les médicaments enfermés dans des boîtes opaques et souvent sous blisters sont, en général, bien protégés des rayonnements solaires » écrit Christelle Pangrazzi, qui rajoute : « quid de ses effets chez des patients souffrant de pathologies chroniques nécessitant la prise de plusieurs médicaments quotidiennement pendant des mois, voire des années ? » 
  • 23 novembre 2023 : Un article de chercheurs de l’INSERM, du CEA, du CNRS, du CEA, etc. publié dans Particle and Fibre Toxicology montre que la dysbiose périnatale liée à l’ingestion de dioxyde de titane prédispose les souris à développer une inflammation de l’intestin tout au long de leur vie
  • 22 août 2023 : 60 millions de consommateurs alerte sur la présence de dioxyde de titane (CI 77891 ou titanium dioxide) dans les rouges à lèvres : « Tous les rouges à lèvres de notre sélection en contiennent » alors qu’il est « notamment soupçonné de favoriser le cancer colorectal ».
  • 20 juillet 2023 : 60 millions de consommateurs titre à la une de son site « Vers une interdiction totale du dioxyde de titane ? » : le magazine souligne que la situation évolue moins vite sur le front des médicaments que sur celui des dentifrices. Citant les chiffres fournis pas AVICENN, le magazine rappelle que le TiO2 a été retiré de près de 75 références de dentifrices depuis 2019, sans compter les très nombreux nouveaux dentifrices qui ont été formulés depuis sans TiO2 dès leur première mise sur le marché. En revanche, côté médicaments, les références sont plus rares pour le moment. Mais la tendance à la suppression devrait s’accélérer aussi : « Upsa a retiré le TiO2 des comprimés pelliculés d’Efferalgan et Sanofi (…) de toutes les formulations de Doliprane, à l’exception des gélules ».

En 2022

“Traité pour des problèmes cardiaques, je prends de l’aténolol (Ténormine), de l’amlodipine, et de l’atorvastatine pour le cholestérol : ces 3 médicaments contiennent du E171 comme excipient. Toujours pour le cœur, je prends du Kardegic 75 qui entraîne une faiblesse des vaisseaux sanguins, d’où  des hémorroïdes que je soigne avec du Daflon, contenant lui aussi de E171.

Souffrant malheureusement d’une prostatite, je prends soit du Permixon, soit du Tadenan, 2 cachets par jour, contenant eux aussi du E171…

En panne de sommeil, je prends du Zopiclone, contenant le même excipient, et si je veux faire plus léger en prenant de l’Euphytose, je me retrouve face au même  problème…(…)

Bref je trouve que l’effet cumulatif n’est pris au sérieux ni par les labos,  ni par le ministère de la santé, alors que les pâtissiers ont eux exclu ce produit de leurs préparations. (…) Voilà, au cas où ma voix pouvait être quelque peu entendue, et que vous puissiez la faire remonter.”

  • 14 décembre 2022 : L’Anses a publié son avis relatif à l’évaluation du risque de la fraction nanométrique de l’additif alimentaire E171 qui pointe le manque de données toxicologiques disponibles pour réaliser une évaluation complète de l’additif E171 et préconise de limiter les usages et les expositions des travailleurs et consommateurs aux nanomatériaux, “en favorisant l’utilisation de produits sûrs, dépourvus de nanomatériaux manufacturés, et en limitant ces usages à ceux considérés in fine comme dûment justifiés et faisant l’objet d’une démonstration documentée d’acceptabilité du risque”.
  • 21 juin 2022 : La Commission européenne a demandé au Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (SCCS) de réévaluer la sécurité du TiO2 dans les cosmétiques, eu égard à sa génotoxicité en cas d’exposition par inhalation et par voie orale. Parmi les types de cosmétiques mentionnés : les baumes à lèvres, rouges à lèvres, dentifrices, poudres, sprays pour cheveux. Le CSSC dispose de neuf mois pour rendre son avis, qui devrait donc être finalisé en mars 2023.
  • 14 janvier 2022 : le règlement européen 2022/63 interdisant l’additif alimentaire dioxyde de titane (E171) ouvre la possibilité, dans son article 3, d’une interdiction du E171 dans les médicaments – une décision qui pourrait être prise en 2025. D’ici avril 2024, l’agence européenne des médicaments (EMA) devra avoir réalisé une évaluation actualisée pour que la Commission européenne puisse réexaminer la nécessité de maintenir le dioxyde de titane (E171) sur la liste des colorants utilisés dans les médicaments, en tenant compte des progrès réalisés dans l’intervalle pour mettre au point des alternatives. « Si le remplacement du dioxyde de titane (E171) dans les médicaments n’a pas eu lieu ou n’a pas débuté dans le délai susmentionné, seules des raisons objectives vérifiables liées à l’impossibilité de le remplacer devraient être prises en considération »

En 2021

  • 24 décembre 2021 : relayant l’enquête de Kali (cf. ci-desssou), France 3 interviewe Pauline Cervan de Générations futures qui dénonce le fait que le dioxyde de titane n’ait aucun rôle sur l’efficacité des médicaments, mais présente des risques de cancérogénicité et de génotoxicité
  • 22 décembre 2021 : le magazine Kali fait sa « une » sur les 800 médicaments contenant du dioxyde de titane et demande le retrait du TiO2 des médicaments
  • 28 octobre 2021 : Que Choisir dénonce, avec AVICENN, le fait que l’Agence européenne des médicaments (EMA) se fait le porte-voix des laboratoires et regrette qu’une date limite pour la substitution, prévue par un texte réglementaire, n’ait pas été instaurée par la Commission européenne
  • 21 octobre 2021 : Karine Jacquemart de Foodwatch réclame que le dioxyde de titane soit aussi interdit dans les médicaments et le dentifrice.
  • octobre 2021 : on apprend suite à l’approbation par les Etats membres de l’interdiction du E171 dans l’alimentation dans toute l’Union européenne, que les médicaments ne seraient pas concernés d’ici plusieurs années
  • 6 mai 2021 : la Commissaire européenne à la santé et à la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides, annonce que la Commission européenne va proposer une interdiction européenne du E171 ; cette annonce a été faite quelques heures à peine après la publication de l’avis de l’agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA) concluant que cet additif ne peut plus être considéré comme « sûr », en raison de potentiels effets génotoxiques (dommages à l’ADN). Il s’agit d’un très net infléchissement de la position de l’EFSA, qui jusqu’à présent s’était évertuée à dire que le E171 était « safe » – et ce, en dépit des nombreuses publications scientifiques qui s’accumulent depuis plusieurs années et montrent des effets néfastes. Ce revirement confirme la pertinence des alertes lancées – depuis plus de dix ans maintenant  – par les scientifiques et les associations et prises au sérieux par les autorités françaises, qui ont suspendu le E171 depuis 2020.
  • 4 mars 2021 : l’association Agir pour l’Environnement annonce sur Facebook que 7 nouvelles marques se sont engagées à retirer le dioxyde de titane de leurs dentifrices ; leur site https://dentifrice-infoconso.agirpourlenvironnement.org a été récemment mis à jour

En 2020

  • 22 octobre 2020 : l’association Agir pour l’Environnement lance une pétition « Stop titane » demandant l’élargissement de l’interdiction du dioxyde de titane aux médicaments et dentifrices (plus de 30 000 signatures recueillies) :
  • 16 octobre 2020 : Que Choisir réitère également son appel à un élargissement de l’interdiction de cet additif aux médicaments et cosmétiques susceptibles d’être ingérés (dentifrice, rouge à lèvres…) :
  • 7 octobre 2020 : une étude de chercheurs français montre que l’exposition de la femme enceinte au dioxyde de titane conduit à une accumulation de nanoparticules de TiO2 dans le placenta et à une contamination du fœtus. Elle a été menée par des scientifiques de l’INRAE, du LNE, du Groupe de Physique des Matériaux de Rouen, du CHU de Toulouse, de l’Université de Picardie Jules Verne et de l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse. Elle vient confirmer des présomptions fortes, suite à des publications chez l’animal. Comme le rappelle le communiqué de l’INRAE, l’utilisation du dioxyde de titane dans les denrées alimentaires a été suspendue en France, mais il est encore utilisé dans les dentifrices, écrans anti-UV, des crèmes et poudres cosmétiques et les produits pharmaceutiques. Dans un communiqué publié le même jour, Agir pour l’Environnement demande l’élargissement de l’interdiction du E171 aux médicaments et dentifrices.

En 2019

  • 19 novembre 2019 : les associations Agir pour l’Environnement et AVICENN interrogées dans l’émission suisse de référence en matière de consommation, « A bon entendeur » mentionnent l’impact de la suppression du TiO2 dans l’alimentation sur les secteurs des dentifrices et des médicaments (« effet domino ») :

  • Août 2019 : la sénatrice LR des Alpes-Maritimes, Colette Giudicelli, avait déposé une question écrite (n°11991) à la ministre des solidarités et de la santé de l’époque, sur la présence de dioxyde de titane nanoparticulaire dans les dentifrices et certains médicaments. Fin septembre, AVICENN apprend que la question, bien que transmise au Ministère de l’économie, des finances et de la relance, a été « retirée pour cause de décès ».
  • Juin 2019 : l’association de consommateurs Que Choisir exhorte les autorités européennes à interdire sans délai le dioxyde de titane présent dans près de 7000 références cosmétiques susceptibles d’être ingérées (dentifrices, bains de bouche, rouges et baumes à lèvres, etc.).
  • Juin 2019 : Interrogée par Challenges4Cf. Pourquoi le dioxyde de titane a été banni des assiettes, mais pas des dentifrices, Challenges, 7 juin 2019, Anne Dux, directrice des affaires scientifiques de la Febea, le syndicat professionnel du secteur cosmétique, aurait répondu que dans les dentifrices, il n’y a pas de substitut possible au TiO2 comme colorant blanc car le le dioxyde de titane serait le seul à ne pas interagir avec les autres éléments. L’obstacle à sa suppression selon elle : « les études montrent que dans l’esprit des consommateurs, le blanc est associé à la propreté et que cela les incite à davantage se brosser les dents ». Pourtant des marques s’en sont toujours passées, d’autres ont déjà commencé à le retirer de leurs dentifrices et certaines font même de l’absence de TiO2 dans leur dentifrice un argument marketing5En octobre 2018, l’enseigne Casino, s’est engagée à retirer les nanoparticules de TiO2 de « tous ses produits », notamment les dentifrices, d’ici la fin de l’année. En janvier 2019, AVICENN a également repéré le dentifrice de la marque Dentavie commercialisé par le Laboratoire Léa Nature, garanti « sans ingrédients superflus et controversés », notamment sans « dioxyde de titane »..
  • Mars 2019 : l’association Agir pour l’Environnement (APE) demande au cabinet du Ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, d’élargir la suspension du dioxyde de titane à tous les produits qui peuvent être totalement ou partiellement ingérés : dentifrices et médicaments notamment, rapportant la présence de dioxyde de titane (TiO2) dans deux tiers des 408 dentifrices dont aucun ne porte la mention [nano] pourtant obligatoire sur l’emballage pour tout ingrédient de dimension nanométrique présent dans les cosmétiques. Le lendemain de la rencontre, Agir pour l’Environnement a indiqué dans un communiqué de presse que “la rencontre a été très décevante”, car il n’a pas été question, pour l’instant, d’élargir le champ de l’arrêté aux produits autres qu’alimentaires pour divers prétextes. Une des raisons évoquées : le projet d’arrêté a été conçu pour un cadre alimentaire…Or ce cadre peut être modifié dans la rédaction de l’arrêté. Sur l’absence d’étiquetage [nano] du dioxyde de titane : la DGCCRF n’a pas encore mené d’enquêtes sur les dentifrices mais indique qu’elle l’aurait planifié pour les mois à venir. Pour Agir pour l’Environnement, ce statu quo marque « une nouvelle fois » la frilosité du ministère de l’Economie, incapable de protéger les consommateurs, les enfants et les malades, d’une exposition à une substance chimique dangereuse et inutile dans les aliments, dentifrices et médicaments. Sans attendre une enquête de la DGCCRF et des sanctions dissuasives qu’elle appelle de ses vœux, Agir pour l’Environnement a mis en ligne le site dentifrice.infoconso.org qui permet d’identifier rapidement les dentifrices avec et sans dioxyde de titane. Dans le rapport d’enquête d’Agir pour l’Environnement publié à l’époque, l’association indique avoir relevé la présence de TiO2 dans deux tiers des 408 dentifrices dont elle a étudié la composition (y compris 25 dentifrices bio) et dans la moitié des 60 dentifrices pour enfants. Elle revéle aussi qu’aucun des 271 dentifrices concernés ne porte la mention [nano] pourtant obligatoire sur l’emballage pour tout ingrédient de dimension nanométrique présent dans les cosmétiques. Agir pour l’environnement indique avoir également lancé une enquête participative sur la présence de dioxyde de titane dans les médicaments.

En 2018

  • Octobre 2018 : 60 Millions de consommateurs dénonce l’utilisation quasi systématique du TiO2 pour des applications où la fonction anti-UV n’est pas strictement nécessaire est controversée, notamment dans les crèmes antirides : « les filtres incorporés dans ces antirides sont controversés. En particulier (…) du dioxyde de titane sous forme nano. Dans une crème de soin à visée purement esthétique comme un antirides, la présence de filtres UV à risque avéré, ou même seulement soupçonnés de toxicité, n’est pas acceptable »6Cf. « Crèmes antirides : des filtres UV malvenus », 60 Millions de consommateurs, 25 octobre 2018.
  • Juin 2018 : pétition en ligne « Stop au dioxyde de titane cancérigène dans nos médicaments ! » (à l’attention de la ministre de la santé, sur la plateforme citizaction.fr qui n’est plus en ligne) > début novembre 2019 elle avait recueilli plus de 20 000 signatures
  • Février 2018 : Que Choisir met en évidence dans le dentifrice Aquafresh du TiO2 dont 40% des particules ont une dimension inférieure à 100 nm.

En 2017

  • Octobre 2017 : BD nano co-financée par Agir pour l’Environnement, Générations futures, France Nature Environnement et le Comité pour un développement durable en santé (C2DS)
  • Juin 2017 : « Interdire temporairement dans l’alimentation, les médicaments et les dentifrices en France les nanomatériaux dont l’innocuité est sujette à caution » est l’une des onze propositions compilées par AVICENN, en partenariat avec ses membres associés et d’autres acteurs de la société civile et instances d’évaluation et de gestion des risques dans le cadre du groupe de travail étiquetage / restriction des nanomatériaux piloté par le Ministère de l’environnement

En 2009

Une remarque, une question ? Cette fiche réalisée par AVICENN a vocation à être complétée et mise à jour. N'hésitez pas à apporter votre contribution.

Les prochains RDV nanos

30
Avr.
2024
Maîtrise des risques liés aux nanomatériaux (CEA, Grenoble)
Grenoble
Formation
  • Sensibilisation destinée aux personnels au contact de nanomatériaux en phase de recherche, formulation, production, maintenance, nettoyage, entretien… ainsi qu’aux animateurs ou ingénieurs de sécurité, chefs d’installation, chefs de laboratoires où sont manipulées des nanoparticules.
  • Organisateur : INSTN Grenoble (CEA)
  • Au programme : impact potentiel sur la santé ; métrologie et protections ; maîtrise des risques potentiels liés aux nanomatériaux ; prise en compte des aspects sociétaux
  • Site internet : https://instn.cea.fr/formation/maitrise-des-risques-lies-aux-nanomateriaux-sensibilisation
6
Juin
2024
Maîtrise des risques liés aux nanomatériaux (CEA, Grenoble)
Grenoble
Formation
  • Sensibilisation destinée aux personnels au contact de nanomatériaux en phase de recherche, formulation, production, maintenance, nettoyage, entretien… ainsi qu’aux animateurs ou ingénieurs de sécurité, chefs d’installation, chefs de laboratoires où sont manipulées des nanoparticules.
  • Organisateur : INSTN Grenoble (CEA)
  • Au programme : impact potentiel sur la santé ; métrologie et protections ; maîtrise des risques potentiels liés aux nanomatériaux ; prise en compte des aspects sociétaux
  • Site internet : https://instn.cea.fr/formation/maitrise-des-risques-lies-aux-nanomateriaux-sensibilisation
6
Juin
2024
Nanomatériaux et Santé (ANSES, Maisons-Alfort)
Maisons-Alfort
Comité de dialogue

Fiche initialement créée en mars 2019


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